Équipe
Marc-Antoine Dilhac
Directeur scientifique
Marc-Antoine est professeur de philosophie à l’Université de Montréal, membre associé du Mila, et titulaire de la Chaire CIFAR en Éthique de l’IA. Il a détenu de 2014 à 2019 la Chaire de recherche du Canada en éthique publique et théorie politique (CRSH). Depuis 2013, il est directeur de l’axe Éthique et politique au Centre de recherche en éthique (Montréal). Il s’est spécialisé dans les théories de la démocratie et de la justice sociale, ainsi que dans les questions d’éthique appliquée. Ses recherches actuelles portent sur les impacts éthiques et sociaux de l’IA et sur les questions de gouvernance et de design institutionnel, avec un intérêt particulier sur la façon dont les nouvelles technologies modifient les relations publiques et les structures politiques. En 2017, il a initié le projet de la Déclaration de Montréal pour un développement responsable de l’IA et en a présidé le comité scientifique.
Marc-Antoine Dilhac est directeur de la fonction Délibération de l’Observatoire sur les impacts sociaux de l’IA et des technologies numériques (OBVIA), et membre du Conseil Aviseur sur l’IA du Gouvernement du Canada.
Il est titulaire d’un doctorat en philosophie politique de l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne et a reçu la bourse postdoctoral Banting du CRSH.
Alexis Beaupré-Daignault
Chercheur
Alexis complète actuellement son mémoire de Maîtrise en philosophie à l’Université de Montréal, pour lequel il est récipiendaire d’une bourse d’excellence pour les projets qui rejoignent la Déclaration de Montréal et le développement responsable de l’IA. Il est titulaire d’un baccalauréat en philosophie/sociologie à l’Université de Montréal, et il détient également un certificat en pédagogie de l’enseignement supérieur de l’Université du Québec à Montréal.
Passionné par les enjeux de justice sociale, ses recherches visent la conceptualisation de la performativité algorithmique, outil théorique permettant une meilleure compréhension des effets injustes des algorithmes. En prouvant qu’une force performative émerge de la répétition et de l’accumulation des décisions algorithmiques, il deviendrait possible de la manipuler afin qu’elle participe positivement à atteindre une plus grande justice sociale. Les questions de la construction identitaire, de la représentation et de l’inclusion orientent ses travaux qui s’inscrivent fondamentalement dans l’esprit de la Déclaration de Montréal.
Emanuel Lemus-Monge
Chercheur
Emanuel Lemus-Monge a obtenu un baccalauréat en ingénierie commerciale à l’École de Gestion de Louvain à Mons, en Belgique. Il termine actuellement sa maîtrise en science des données aux HEC Montréal, Canada. Son mémoire de maîtrise et sa récente participation au projet « IA et finance durable » pour le ministère de l’Économie et de l’Innovation (MEI) du Québec portent sur l’analyse textuelle des divulgations financières à l’aide de techniques d’apprentissage en profondeur.
Avec l’aide de ses collègues de Fin-ML, un investisseur outil d’analyse des plans de transition vers le net-zéro en cours de développement. Alors que son travail avec le laboratoire Algora étudie les limites éthiques de l’écosystème ESG et des outils existants, pour s’assurer que l’investissement durable sera un vecteur de changement sociétal positif pour l’avenir.
Lucia Flores Echaiz
Chercheure en éthique de l’IA
Lucia est titulaire d’un baccalauréat en droit et d’une mineure en philosophie. Elle complète actuellement une maîtrise en droit (concentration droit et société) à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Sa recherche explore comment les systèmes d’IA peuvent mener à la discrimination des populations vulnérables et comment le droit constitutionnel canadien répond aux enjeux entourant la question.
Son parcours académique est marqué par une implication sociale dans divers projets liés à la défense des droits et libertés, ce qui lui a valu notamment la bourse Juanita Westmoreland-Traoré et le prix Natasha Binsse-Masse. Elle a également de l’expérience en intervention en matière de violence conjugale dans un maison d’hébergement pour femmes. En 2019, Lucia a eu l’opportunité de mener des recherches à l’UNESCO sur l’éthique de l’IA (enparticulier sur l’IA et les droits humains, ainsi que sur l’IA et le genre), s’étant conclu par la publication du rapport Steering AI and Advanced ICTs for Knowledge Societies: a ROAMperspective.
Ses intérêts de recherche comprennent l’éthique de l’IA, la philosophie continentale de la technologie, les théories de la discrimination ainsi que les perspectives féministes et décoloniales. Elle souhaite apporter son expertise théorique et son dévouement à la justice sociale dans différents projets à Algora.
Patricia Gautrin
Chercheure en éthique de l’IA
Patricia est doctorante en éthique de l’IA à l’Université de Montréal sous la direction du professeur M. Dilhac et sa thèse porte sur l’entraînement moral des systèmes d’IA grâce au cadre de l’éthique de la vertu.
Elle est chercheure à Algora Lab, où elle travaille sur différents projets comme le projet « IA et finance durable », un partenariat entre Algora Lab, CIRANO et Fin-ML. Ses recherches portent sur l’impact de l’IA sur la mesure et le reporting de l’empreinte carbone, dans le contexte de la finance durable.
Patricia est également journaliste éthique en IA pour CScience IA. CScience IA est le média 100 % dédié à l’Intelligence Artificielle au Québec. Par son esprit d’entreprise et sa constante créativité, elle a participé au développement et à la commercialisation de nombreux logiciels. Ses activités et ses qualités relationnelles lui avaient permis de développer un solide réseau d’affaires à l’origine de plusieurs contrats ou partenariats. Elle est passionnée par les ODD de l’ONU et se concentre particulièrement sur l’ODD16: la paix et la justice. Patricia Gautrin est présidente de NAPSE Intelligence et cherche à prototyper une certification éthique en IA alignée sur cet objectif 16 de développement durable.
Patricia Gautrin est également auteure en éthique de l’IA. Son livre récent est : PAUSE Why AI Needs Ethics. Un livre qui examine les risques et les opportunités de l’intelligence artificielle, ainsi que le besoin d’éthique de l’IA. Patricia Gautrin expose ses arguments d’une manière accessible aux entrepreneurs, aux professeurs, aux dirigeants, aux chercheurs et à tout membre de la société intéressé à comprendre les défis posés par l’intelligence artificielle et à prendre les meilleures mesures possibles pour la mettre en place.
Pauline Noiseau
Chercheure
Passionnée par les questions de représentation, de participation et de délibération, son rôle est de développer des ateliers délibératifs entre différents acteurs sur la société algorithmique ou algodémocratie. Elle a été membre du comité de pilotage de la Déclaration de Montréal pour le développement responsable de l’AI, un cadre éthique pour un déploiement inclusif, équitable et responsable de l’AI. Elle a organisé de nombreux ateliers délibératifs à Montréal dans des communautés marginalisées.
Elle détient un double baccalauréat en science politique et en philosophie de l’Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne et une maîtrise en philosophie politique et morale de l’Université de Montréal. Dans le cadre de ses recherches, elle s’intéresse à la question du genre au sein de l’IA et a notamment travaillé sur son mémoire de maîtrise sur les enjeux éthiques de la robotique sexuelle dans une perspective critique féministe. Très préoccupée par les questions de représentation des femmes et des minorités, elle a présidé pendant deux ans le Sofépum (Sociétés Féminisme et Philosophies de l’Université de Montréal), un comité visant l’inclusion des femmes et des minorités dans la vie académique du département de philosophie.
Plus récemment, elle a travaillé sur le concept de vulnérabilité dans le domaine de l’IA et plus particulièrement sur la nature du lien entre les humains et l’IA dans une perspective d’éthique du care.
Roxanne Lépine
Chercheure
Roxanne est doctorante en éthique de l’IA à l’Université de Montréal sous la direction de Marc-Antoine Dilhac. Elle est titulaire d’un baccalauréat en histoire et anthropologie et d’une maîtrise en sciences de l’information et a également complété un certificat en administration publique à l’École nationale d’administration publique.
Son cheminement académique multidisciplinaire et sa grande curiosité lui ont permis d’aborder ses responsabilités professionnelles dans un institut de recherche gouvernemental ainsi que son implication syndicale en en tirant de multiples questionnements sur la gouvernance et les mécanismes de prise de décision.
Suite à un intérêt personnel, elle s’est ensuite tournée vers le domaine en pleine ébullition qu’est l’intelligence artificielle pour se questionner sur les enjeux que pose la prise de décision dans les contextes où elle est automatisée, notamment en ce qui a trait à l’attribution de la responsabilité. Elle a entre autres comme objectif d’éclairer la manière dont devrait être assignée l’imputabilité face aux décisions automatisées, dans un contexte où elle est de plus en plus utilisée, par exemple dans les décisions gouvernementales relatives aux dossiers de leurs citoyens.
Vincent Mai
Doctorant, MILA
Vincent Mai est un candidat au doctorat en Intelligence Artificielle au Mila. Sa recherche se concentre sur l’application de l’IA à la robotique. Au sein de l’équipe d’Algora, il souhaite mettre ses connaissances techniques au service de la mission du laboratoire.
Vincent a toujours été intéressé par l’impact des technologies sur la société. Il trouve important de promouvoir l’éducation et la délibération à propos du développement et du déploiement de l’IA. Il a participé à la mise en oeuvre de la Déclaration de Montréal pour un Développement Responsable de l’IA, des délibérations à la rédaction du rapport. Il a aussi été partie prenante de plusieurs autres projets, dont une école d’été en robotique au Ghana et un groupe de réflexion sur l’utilisation de l’IA dans le monde du travail.
Il a obtenu un diplôme de maîtrise de l’ETH Zurich en robotique et un baccalauréat en génie physique de Polytechnique Montréal.
Les chercheur.e.s associé.e.s
Par ordre alphabétique
Carl Mörch
Chercheur Postdoctoral, Analyste senior
Carl est actuellement stagiaire postdoctoral de l’Université de Montréal, au Mila; il a reçu une bourse postdoctorale de l’Observatoire International sur les Impacts Sociétaux de l’intelligence artificielle et du Numérique (OBVIA). Il est chargé de cours et professeur associé à l’UQÀM (Montréal, Canada).
Ses recherches sont orientées vers la création d’outils en éthique de l’IA. Son objectif est de contribuer à l’application concrète de principes éthiques de haut niveau en élaborant des listes de standards, et des instruments concrets. Il s’intéresse particulièrement à deux domaines sensibles (santé, finance).
De façon générale, il s’intéresse au développement responsable des technologies dans la société, en santé et en psychologie. Il a co-créé canadaprotocol.com, un outil en accès libre pour les développeurs en IA travaillant en santé mentale. Il travaille également sur l’évaluation éthique des applications mobiles gratuites et sur le concept de compétence morale en IA. Enfin, il dirige le projet « Reach Me », un projet de e-santé visant à améliorer l’accès des femmes enceintes aux services prénataux, en utilisant les SMS.
Il est titulaire d’un M.Psy. (EPP-ICP, France) et un doctorat en psychologie (UQÀM, Canada). Il est activement impliqué dans l’organisation du AI Civic Forum depuis octobre 2019.
Catherine Régis
Professeure de Droit
Catherine Régis est professeure titulaire à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la culture collaborative en droit et politiques de la santé, co-responsable du Hub santé – politique, organisations et droit (H-POD) et membre fondatrice du groupe de recherche JusticIA. Elle est également chercheuse au Centre de recherche en droit public, au Centre de recherche du Centre hospitalier universitaire de l’Université de Montréal (CRCHUM), à l’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique (OBVIA), au Mila (Institut québécois d’intelligence artificielle) ainsi que Conseillère spéciale et Vice-rectrice associée à la planification stratégique et à l’Innovation numérique responsable.
Christophe Abrassart
Professeur en design durable, prospective & innovation
Christophe est un expert en prospective stratégique des villes, transition écologique, design durable, théorie C-K, design fiction, design social, codesign, éthique de l’IA, cartographie des controverses, design&politiques publiques.Il est co-directeur du Lab Ville Prospective, responsable de la coconstruction de la Déclaration de Montréal IA Responsable, co-directeur DESS en écodesign stratégique (UdeM-Poly). Il est chercheur en design et société, chercheur au Centre de recherche en éthique (CRÉ), et chercheur associé Mosaic (HEC).
Golnoosh Farnadi
Professeure adjointe, HEC Montréal
Golnoosh a obtenu son doctorat à la KU Leuven et à l’UGent en 2017. Au cours de son doctorat, elle a abordé plusieurs problèmes de modélisation des utilisateurs en appliquant et en développant des algorithmes d’apprentissage automatique statistique. Elle a ensuite rejoint le groupe LINQS de Lise Getoor à l’UC Santa Cruz, pour poursuivre ses travaux sur l’apprentissage et l’inférence dans les domaines relationnels. Elle est actuellement boursière post-doctorale IVADO à l’UdeM et à Mila, où elle travaille avec les professeurs Simon Lacoste-Julien et Michel Gendreau sur l’IA équitable. Elle se joindra au département des sciences de la décision de HEC Montréal en tant que professeur adjoint cet automne.
Elle a été chercheuse invitée dans de nombreux instituts tels que l’UCLA, l’Université de Washington, Tacoma, l’Université Tsinghua et Microsoft Research, Redmond. Elle a eu des collaborations fructueuses qui se reflètent dans ses nombreuses publications dans des conférences et des revues internationales. Elle a également reçu deux prix pour ses travaux sur les cadres d’apprentissage relationnel statistique. Elle a été invitée à donner des conférences dans de nombreux endroits et a été directrice scientifique du cours en ligne IVADO/Mila “Bias et discrimination dans l’IA.
Jean-Christophe Bélisle-Pipon
Chercheur postdoctoral
Jean-Christophe est chercheur postdoctoral au Centre de recherche en éthique (CRÉ) sous la direction de Daniel Weinstock et Marc-Antoine Dilhac. Il est également chercheur invité au Petrie-Flom Center for Health Law Policy, Biotechnology, and Bioethics à Harvard Law School.
Bioéthicien de formation, ses recherches se situent à l’interface des politiques de santé, de l’engagement des citoyens et des patients dans la recherche et la gouvernance de la santé, ainsi que des pratiques commerciales. Son expérience professionnelle, acquise au sein de l’industrie pharmaceutique et du gouvernement, lui a permis de comprendre de l’intérieur les dimensions éthiques, politiques et sociales du développement et de l’évaluation des technologies de la santé.
Jean-Christophe utilise des méthodologies de bioéthique à la fois empiriques et conceptuelles. Dans le cadre de ses recherches, il formule des recommandations sur la gestion et la résolution appropriées des questions éthiques à l’intention des agences de réglementation en santé et des décideurs de l’industrie.
À partir de janvier 2021, il sera professeur adjoint en éthique de la santé à la faculté des sciences de la santé de Simon Fraser University.
Jihane Lamouri
Membre d’Algora Labs – 2019
Jihane Lamouri est une professionnelle de l’enseignement supérieur avec plus de 10 ans d’expérience dans les secteurs du développement international et de la diversité et de l’inclusion. Elle est passionnée par la gestion de la recherche et des sciences, la réussite des étudiants, l’inclusion et la justice sociale.
En tant que planificatrice de l’éducation sensible au genre au sein de l’IIPE-UNESCO Dakar, elle soutient les États membres dans l’élaboration, la mise en œuvre et le suivi de politiques et de programmes éducatifs sensibles au genre, inclusifs et équitables. Auparavant, elle a dirigé les efforts de diversité, d’équité et d’inclusion chez IVADO, un consortium qui rassemble plus de 1000 scientifiques et 70 partenaires industriels pour faciliter l’émergence d’une expertise de pointe en intelligence artificielle.
À l’Institut africain des sciences mathématiques, elle étais principalement responsable de l’intégration de l’égalité des sexes et de l’inclusion dans un réseau de 6 centres d’excellence africains et de la coordination d’un programme de bourses internationales avec des universités canadiennes. Auparavant, chargée de projet à l’Université Laval, où elle a initié et développé les premiers séminaires de formation intensive et internationale de la Chaire en développement international.
Ses aspirations professionnelles sont de créer des environnements d’apprentissage et de travail positifs au profit des étudiants et des institutions au Canada et à l’étranger. Expertise : gestion de projet (éducation internationale/développement), conseil aux étudiants, partenariats et collaborations académiques, diversité, genre, équité et inclusion, élaboration de politiques, recherche.
Manuel Morales
Professeur de mathématiques et statistiques, UdeM
Membre actif de la communauté IA de Montréal, impliqué dans diverses initiatives de collaboration reliant les équipes de science des données techniques aux propriétaires/gérants de produits afin de créer une stratégie de transformation IA cohérente.
Pendant son mandat de chef scientifique en IA à la Banque nationale du Canada, il a supervisé la composante scientifique de l’initiative de transformation de l’IA de la sixième plus grande banque commerciale du Canada.
En tant que chercheur affilié à OBVIA, il est également impliqué dans le débat mondial en cours sur l’éthique de l’IA et sur l’engagement à déployer une IA responsable. Il travaille actuellement sur l’impact de l’AI dans la mesure et la communication de l’empreinte ESG dans le contexte de la finance durable.
Il continue à mener des activités de recherche et d’enseignement en collaboration à l’Université de Montréal où il est le directeur du réseau FinML, dont le mandat est de former la prochaine génération de professionnels de la finance et de la banque qui seront capables d’utiliser l’IA. Il est également directeur adjoint des partenariats au Centre de recherche mathématique – CRM de Montréal, où il s’efforce de jeter des ponts entre le secteur industriel et la communauté mathématique de la province de Québec.
Il est également conseiller principal pour la PathCheck Foundation, une organisation à but non lucratif du MIT qui développe et déploie des solutions technologiques pour les stratégies d’atténuation de la propagation de COVID-19, comme la notification de l’exposition, les tests et la logistique des vaccins.
Membre actif de la communauté FinTech à Montréal, où il joue différents rôles en tant que conseiller et fondateur.
Sasha Luccioni
Chercheuse postdoctorale à Mila
Sasha Luccioni est une chercheuse postdoctorale travaillant sur des initiatives d’IA pour l’humanité à l’Université de Montréal et Mila, sous la supervision de Yoshua Bengio. Elle a obtenu son doctorat en informatique cognitive de l’UQÀM en 2018 et a passé deux ans à travailler dans l’apprentissage automatique, en particulier dans l’application de l’apprentissage profond et du traitement automatique des langues dans différentes applications industrielles. Elle est très impliquée dans les initiatives communautaires, siégeant au comité de Women in Machine Learning (WiML) et en tant que présidente du contenu dans Climate Change AI (CCAI).
Ancien.ne.s membres
Par ordre alphabétique
Camylle Lanteigne
Chercheure en gouvernance de l’IA
Camylle est chercheure en gouvernance et éthique de l’IA à l’Algora lab. Elle est étudiante à la maîtrise en politiques et administration publiques à l’Université Concordia, et détient un baccalauréat en philosophie (spécialisation) de l’Université McGill.
Elle a aussi une expérience de travail et de bénévolat importante en environnement et en gestion des matières résiduelles au niveau municipal. Étant une chercheure émergente, Camylle s’intéresse en ce moment aux intersections entre l’IA et les politiques ainsi que la politique.
Didier Fayon
Stagiaire
Il est chargé de cours, assistant de recherche, auxiliaire d’enseignement, analyste financier, analyste budgétaire et analyste des processus d’affaires.
Quentin Patault
Webmestre
Préccupé par l’engouement autour de l’intelligence artificielle de la part de toutes les industries et de son utilisation comme mot clé à tort et à travers en marketing d’entreprise, Quentin a tout de suite été intéressé à faire partie de l’équipe d’Algora Lab.
Ingénieur en technologie de l’information de formation, il est spécialisé dans les technologies Transport/Internet/Vidéos. Il est actuellement gestionnaire de projet en ingénierie des télécommunications chez Vidéotron.
Sa formation à l’École de Technologie Supérieure (ÉTS), incluait une introduction à l’apprentissage profond avec des outils comme Anaconda, Google Collab en utilisant le langage Python. Quentin a notamment travaillé avec des bibliothèques comme Numpy, Pandas, Matplotlib, SciPy et TensorFlow.
Fatima Gabriela Salazar Gomez
Stagiaire
Fatima est actuellement cChargée de projet chez travaillé comme coordonnatrice scientifique pour Algora Lab. Auparavant, elle a travaillé pendant plus de 2 ans comme auxiliaire de recherche au Centre InterActions du CIUSSS-NIM. C’est là qu’elle a été introduite à la recherche sociale en santé et qu’elle a été confrontée aux enjeux sociaux et raciaux des résident.e.s de son quartier. Depuis, Fatima s’implique au sein des organismes communautaires de son arrondissement afin d’améliorer les conditions de vie des résident.e.s.
Elle a aussi travaillé comme consultante au sein du projet MTElles qui visait à la participation égalitaire des femmes à la vie démocratique municipale et communautaire. Sa collaboration au sein de ce projet lui a permis d’en apprendre davantage sur les systèmes de gouvernance et notamment les freins à la participation citoyenne des femmes historiquement marginalisées.
Forte d’un esrprit entrepreneurial, c’est sous la direction de Bryn Williams-Jones qu’elle cherche à opérationnaliser la Déclaration de Montréal pour l’IA responsable dans une contexte d’entreprenariat. Elle s’intéresse particulièrement au milieu florissant des startups – nombreuses à Montréal – et se donne comme défi d’inculquer une culture de l’éthique dans ce milieu effervescent.
C’est également grâce à son implication chez Inven_T qu’elle tâche de nourrir cette passion pour l’écosystème technologique. Élevée par deux professeurs, elle a l’éducation à cœur, et fait du transfert de connaissances, la communication publique et la promotion de la littératie numérique, ses priorités dans ses démarches professionnelles et académiques.
Gabrielle Verreault
Stagiaire
Gabrielle est candidate à la maîtrise en bioéthique à l’Université de Montréal. Ses principaux intérêts sont l’éthique de l’intelligence artificielle et l’éthique numérique.
Forte d’un esrprit entrepreneurial, c’est sous la direction de Bryn Williams-Jones qu’elle cherche à opérationnaliser la Déclaration de Montréal pour l’IA responsable dans une contexte d’entreprenariat. Elle s’intéresse particulièrement au milieu florissant des startups – nombreuses à Montréal – et se donne comme défi d’inculquer une culture de l’éthique dans ce milieu effervescent.
C’est également grâce à son implication chez Inven_T qu’elle tâche de nourrir cette passion pour l’écosystème technologique. Élevée par deux professeurs, elle a l’éducation à cœur, et fait du transfert de connaissances, la communication publique et la promotion de la littératie numérique, ses priorités dans ses démarches professionnelles et académiques.
Marie Zumstein
Stagiaire
Marie Zumstein est candidate au doctorat de droit, option innovation, science et technologie à l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur la création d’une nouvelle catégorie juridique à l’égard des IA les plus développées dans le but de protéger les droits humains tout en encourageant l’innovation. Elle s’intéresse également à l’éthique et à la place de la population dans les processus de délibération et de régulation des nouvelles technologies, notamment en lien avec les notions de confiance et d’acceptabilité sociale éthiques de l’IA.
Marie est diplômée d’une Licence de droit international et européen de l’Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne. Elle étudie ensuite à la mineure en anthropologie et obtient un certificat de coopération internationale à l’Université de Montréal dans le but d’élargir ses réflexions dans une optique pluridisciplinaire et ne pas se cantonner au seul domaine juridique. En retournant vers le droit au second cycle, ses réflexions l’amènent à réfléchir à l’IA, à la place à lui accorder au sein de la société, et de ses liens avec la personne humaine et la société. Un intérêt qui n’a fait que croître et qui l’a poussé à continuer ses réflexions dans ce sens au doctorat.